Reste que si on retire toutes les cinématiques et les textures, le gros du gameplay reste bien un jeu de chat et de la souris.
Il est (heureusement) + profond que ça grâce à la mise en scène et les nombreux passages de "réflexion" pour pouvoir avancer dans le jeu, mais le fond du système de jeu de MGS1 et 2 est effectivement un descendant de Pacman.
Pour 150 millions de dollars tu confies pas un film à un mec qui n'a jamais touché une caméra de sa vieadol75 a écrit :Ben oui, de nos jours pour 150 millions de dollars tu fais un court métrageCasey Wells a écrit :Kojima c'est un fan de cinéma qui n'a jamais eu le budget pour faire un film et s'est tourné vers le jeu vidéo, rien d'autre.
Dans tous les MGS (au hasard) les références se comptent par dizaines.
Seul problème: c'est quand il arrête de copier le cinéma traditionnel et y va de sa propre création que sa part en couilles (le salto en motocyclette dans MGS3 ).
Kojima, en 99, il était aussi connu aux states que Daddy Day au Pérou.
Donc lui confier un film c'était juste impensable pour un studio, et je parle pas des années 80 où ses idées étaient purement impossibles à porter sur grand écran.