je dirais que je suis un peu d'accord avec wovou mais aussi un peu d'accord avec Tyc (pour une fois

)
d'accord avec wovou pour ce qui est des ultras. des fois jusqu'a 2 ultras par round quoi
pour tyc je suis d'accord avec toi sur le fait que effectivement si tu rate pas tes link y'a pas de bourrage mais ça c'est une évidence
moi ce qui me choque le plus dans Street IV et sa suite c'est que j'ai l'impression qu'ils ont voulu bouffer à tous les râteliers.
ce qui fait que le jeu pour moi est trop ou pas assez mais n'arrive pas à vraiment trouver sa place pour le joueur moyen niveau.
j'explique :
d'un coté le bourrage, les inputs vraiment hasardeux, les ultras, les pifs à la relever (shoryu qui passe dans le bon sens meme si tu le fait pas dans le bon sens

) ...etc
d'un autres coté la gestion de la frame et des links qui sont vraiment tres chaud.
je trouve que tout ça ne fait pas bon ménage en fait.
j'aurais netement préféré par exemple qu'ils augmentent les fenetres pour les links par exemple, ou d'un autre coté s'ils veulent garder ce timing strict que les inputs de 360/720 shoryu et j'en passe soit de vrai manip , qu'un reversal soit beaucoup plus chaud à sortir etc etc...
du coup je trouve que le jeu à le cul entre deux chaises et j'aime pas. Je pensais d'ailleurs que sur le super il corrigerait ça, d'un coté ou d'un autre je m'en fou mais qu'ils se decident et arretent de vouloir ratisser trop trop large entre core et nouveau venu ...
c'est pour cela que personnelement j'ai ete hyper dessus de super street et que je n'y joue pas ou presque pas.
pour ce qui est de l' enveloppe 3D, je ne suis pas contre mais je pense et j'espérais qu'il ferait un truc un peu plus "classe" quand meme !
plus fin, plus jolie .... etc et les ultras je l'ai trouve aussi plus moche les unes que les autres , surtout celle qui propulse l'adversaire dans l'écran, c'est juste horrible à mon gout ... la je le conçois se ne sont que mes gouts personnels

Ils doivent trouver cela difficile. Ceux qui ont accepté l'autorité en tant que vérité au lieu de la vérité en tant qu'autorité