Ah tiens, j'ai zappé la présentation ma foi...ça commence bien
Yannick, 44 ans, ingénieur informaticiennnnnnnn. Original...je sais...

comme la plupart, bercé au son des machines 8bit de mon époque,
je faisais c*ier mes parents dès que je voyais une arcade dans un café, un restaurant...d'autres se reconnaitrons j'imagine
Parcours classique, d'abord un cpc 464, puis un A500, enfin des PC (j'ai acheté mon premier pentium 100Mhz en 95 si je raconte pas d’âneries).
Côté console, du très sobre, toutes les PS de salon (1,2,3,4, et prochainement la 5).
Je pense qu'une partie de mon cerveau est resté dans les années 80/90, appelons ça comme on veut, la nostalgie d'une époque révolue.
Je me souviens comme si c'était hier de ce petit café non loin de mon lycée qui se nommait "la baraque", j'ai mémorisé chaque arcade
de ce café... chaque jeu... Dans la première salle il y avait un Samourai Shodown 2, et accolé se trouvait un Flipper Star Trek the next génération.
J'ai adoré le système de "gâchette" pour tirer les boules. Dans l'arrière salle, ils avaient deux autres arcades, The Ninja Kids de Taito, et à côté un
Super Volley Ball. J'ai claqué pas mal de mon argent de poche chez eux

même si, et j'ai honte de l'admettre, on trichait un peu, on utilisait un
allume gaz sur la plaque du monayeur, et on avait des crédits sans remettre de pieces

On était jeunes et c*ns à l'époque !
Plus tard, j'ai pas mal fréquenté les salles d'arcade Sega, la tête dans les nuages (à Amiens, et plus tard à Paris sur le boulevard des Italiens).
Et puis ça m'a un peu passé, j'ai jamais cessé de jouer, mais j'étais pas un nostalgique inconditionnel de la chose. Avec le revival du retrogaming,
j'ai cherché à revenir à ce que j'avais connu, redécouvert des titres, découvert pleins d'autres que je connaissais pas.
Cet été, j'ai un peu craqué, me suis acheté une MVS consolisée, j'essaye de me constituer un début de collection, uniquement les jeux que j'aime.
Et je sens que l'étape naturelle, c'est positionner ce slot MVS dans un grand truc avec 2 sticks et pleins de boutons
J'y suis pas encore, pas la place chez moi, mais je pose des jalons mentalement
