https://monitor.capcom.co.jp/question/c ... PSP_qa.cgi
Capcom Asks What PSP Fans Want
Could this be a clue as to where the home of Mega Man and Street Fighter is going next?
December 13, 2004 - With current trends in sales figures and market demographics meaning little to how Sony's PlayStation Portable will make a name for itself in the game market, Capcom is going to the fans to see what they think of the PSP and what they'd like to see next out of the venerable publisher. The company this week launched a PSP poll for new owners of the system to see how interested they are in playing Capcom games on PSP. Of course, this poll may not necessarily point to where the company goes with its PSP projects (we all know what titles we'd go for out of the Capcom library, but the company will hopefully try other things as well so that gamers get what they never knew they wanted.) The feedback form does show, however, some things that the company may be thinking about.
The biggest thing Capcom seems interested in asking gamers is how important WiFi features are to them. When asking what kind of genres gamers are interested in playing in a handheld format, there's an entire separate column for Wireless LAN communication. The feedback form ask asks gamers what their most interested about with PSP (reasons to choose including WiFi play, up-to- date game hardware, multimedia functions, screen size and quality, and Sony brand), whether they bought it yet or not or are still considering, and age and gender.
As far as the games, Capcom has two fields of interest for asking gamers what they want. One is genres (mostly with standard genres, although wacky Japanese-specific genres like breeding sims, romance play novels and music are included, as is a very specific breakdown of RPGs into regular RPG, Action RPG, and Sim RPG.) The other is franchises, which features a write-in field as well as several well-known Capcom series: Resident Evil, Gyakuten Saiban, Street Fighter, Mega Man, Breath of Fire , Capcom's VS. fighting series and Onimusha are all there to choose from the list. More curious entries on the form include the new PS2 Monster Hunter franchise and Capcom's dormant Rival Schools -- after its unexpected revival of Darkstalkers on PSP, we wouldn't be surprised to see Capcom make some more surprises happen with the handheld.
Capcom has so far announced three PSP projects Darkstalkers Chronicle and a version of Viewtiful Joe and Devil May Cry. You can read the Capcom PSP poll (if you can read Japanese, that is) on the Capcom official website.
-----------
Mario basket-ball, c'est tout comme !
La version GameCube de NBA Street vol 3 nous proposera un plus incroyable : la présence de Mario et ses amis dans le jeu ! On n'avais jamais vu ça !
Lorsqu'on regarde la boîte du jeu NBA Street vol. 3, on remarque dans le coin supérieur gauche une image de Mario, Luigi et la Princesse. Qu'est-ce que cela veut donc bien dire ?
C'est très simple : le jeu de basket de rue d'Electronic Arts nous permettra en effet de jouer avec la bande à Mario ! En fait, on ne sait pas si les personnages seront jouables, mais on se demande bien pourquoi EA les aurait mis sur la boîte si on ne les retrouvait qu'en tant que trophées ou images bonus à gagner au fil des tournois !
-------
EA signe un accord d'exclusivité
Electronic Arts et la NFL viennent de signer un accord d’exclusivité de cinq ans pour toutes les prochaines productions concernant les jeux de football US du géant américain. Cela va des simulations sportives au jeu arcade ou de gestion. EA possède désormais la licence à lui tout seul sur les noms des joueurs, des équipes et des stades. EA signe là un gros coup face à Sega et sa série ESPN. La NBA, NHL et MLB sont toujours bons à prendre. Qui s’arrachera ces licences ? Affaire à suivre surtout du côté de chez Sega qui risque de riposter.
---------
Internautes débranchés pour cause de piratage
« L"autorité judiciaire peut prescrire en référé ou sur requête (…) toutes mesures propres à prévenir un dommage ou à faire cesser un dommage occasionné par le contenu d"un service de communication au public en ligne. » C"est en vertu de cette disposition de la loi pour la confiance dans l"économie numérique (article 6) qu"une dizaine d"internautes, selon l"Association française des FAI (AFA), ont été privés de leur abonnement au cours du mois dernier. Motif : le téléchargement de fichiers musicaux en peer-to-peer, encore et toujours.
Les FAI s"étaient engagés officiellement, dans le cadre de la charte signée en juillet avec l"industrie du disque, à procéder à des suspensions d"abonnement. Ce passage à l"acte est une première. Jusque-là, les FAI se contentaient de relayer les réclamations d"ayants droit auprès de certains abonnés, les renvoyant à leurs responsabilités et aux conditions générales de vente, sans plus.
A l"origine de la procédure, il y a une demande de la Société civile des producteurs phonographiques (SCPP). Adresses IP en main, ils ont saisi le juge du tribunal de grande instance afin qu"il rende une ordonnance sur requête demandant la résiliation des abonnements.
Une procédure non contradictoire, donc moins lourde qu"un procès, plus simple et au coût financier réduit. Pas d"amende, pas de dommages et intérêts. L"internaute se retrouve néanmoins sans abonnement et se verra certainement demander des « frais d"opérateurs » de la part du FAI, justifiés par la fermeture du compte.
Les déconnectés ne sont pas fichés
Averti de la résiliation par son FAI, qui dans cette procédure ne fournit aucun nom, il lui reste ensuite à aller frapper à la porte d"un autre fournisseur d"accès. A priori en toute sérénité, puisque l"AFA garantit qu"aucune liste noire ne circule. Les indélicats avec les droits d"auteur ne sont pas fichés chez les fournisseurs d"accès.
L"histoire peut donc très bien s"arrêter là. Mais l"internaute peut cependant demander un recours auprès du juge qui a rendu l"ordonnance. Car, dans l"affaire, la décision est rendue sans qu"on entende la voix de la défense.
« Le message qui doit passer, c"est qu"il existe un risque, estime Stéphane Marcovitch, porte-parole de l"AFA. Il faut que l"internaute ait conscience que mettre à disposition des fichiers est interdit. Là, ils ont relativement de la chance : ils n"ont pas eu la gendarmerie, pas de perquisition. C"est un moindre mal. » Une allusion aux poursuites lancées en octobre par l"industrie du disque.
L"autre différence tient au fait que dans le cas de poursuites judiciaires c"est le plaignant, en l"occurrence les maisons de disques, qui s"attire la vindicte des internautes. Dans le cas de la suspension d"abonnement, cela risque d"être les FAI…
Comment la SCPP repère les pirates
Pour obtenir une ordonnance de requête, la SCPP doit présenter au juge la matière nécessaire. Il s"agit d"adresses IP, pas de noms, récupérées sur les plates-formes de peer-to-peer elles-mêmes.
« Les agents assermentés de la SCPP ont dressé des constats sans constituer de fichiers, même manuels, à partir des éléments recueillis. Ils n"ont fait que constater une situation qui est publiquement accessible », expliquait la SCCP en octobre. Elle utilise notamment beaucoup la technique des fichiers leurres.
Il reste que l"industrie du disque aimerait passer à la vitesse supérieure en procédant à des traitements automatisés de données. C"est-à-dire en récupérant les adresses IP avec un logiciel. La chose est permise, mais sous contrôle de la Cnil. Dernièrement, la SCPP était en discussion avec des éditeurs pour trouver un outil qui lui convienne.