Pour les soirées danses, ça dépend de ce que vous cherchez, en sachant que là aussi les communautés sont pas les mêmes.
Pour les soirées Rock (sauf le rock à 4 temps du côté de la rue Vergniaud, où là c'est clairement axé étudiants sans prise de chou), ça s'adresse essentiellement à nos parents (voire grand parents).
Les trips "Billy Elliott" et les danses type modern jazz, effectivement , sont plutôt gay friendly.
Le tango et la valse, je confirme, c'est la classe. Surtout le tango, quand c'est maîtrisé par de bons danseurs, c'est d'une beauté incomparable. Mais accrochez-vous, c'est la danse la plus difficile que j'ai eu à essayer, rien que pour les pas de base, j'ai jamais réussi à maîtriser.
Par contre les soirées à ambiance latino type salsa, bachata, et merengue, c'est pile poil pour les 25-35 ans, hyper hype à Paname et un haut lieu reconnu de la sarge...
Sinon, d'un point de vue général, ce n'est pas être "binaire" que de simplement étendre jusqu'au bout la reconnaissance de l'égalité des sexes.
Elles AUSSI ont le droit de parler cul entre copines et elles sont loin de se priver de le faire. Elles AUSSI quand elles voient un mec qui est à leur goût elles peuvent penser, même en l'espace d'une seconde à peine, de se le taper dans l'appart', en ascenseur, en bagnole, dans les chiottes d'une boîte ou tout autre endroit aussi recommandable. Elles AUSSI, même si elles sont mariées et ont des enfants, peuvent parfois se chercher un petit extra en loucedé.
Et pour elles AUSSI, une sortie ciné avec un gars seul à seul, si celui-ci vient seul sans ses potes ou y va sans ses potes à elle, ou vient avec un mec déjà connu et pote avec son mari/concubin/copain/sexfriend et a obtenu son autorisation préalable, C'EST une situation ambiguë, c'est même zeu poncif par excellence, et si elle s'y met dedans, sans garantir à 100% le résultat, c'est qu'elles
l'acceptent. (Et si c'est elle-même qui lance l'invitation, alors là...).
S'obstiner à en faire des petites choses innocentes et fragiles, c'est nier ce droit d'être aussi tordues et mal intentionnées que nous. Bref, d'être au fond comme nous mais en l'exprimant à leur manière.