

Année de sortie : 1997 |
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Cave, ce seul nom doit faire baver les amoureux de shoots. En effet, ces bougres connaissent bien leur boulot en matière de shoot. Après Donpachi, voilà donc DoDonpachi. Faite donc chauffer les doigts !
Je sais pas si on peut dire « suite » vu que je connais que dalle à l’histoire mais laissons ça de coté, voulez-vous.
On a donc 3 engins à notre disposition dont un hélico, ils se diffèrent par leur apparence mais surtout par le rayon d’action de leurs tirs.
Manuel du parfait atomiseur volant
Les commandes sont extrêmement simples, comme dans tout shoot respectueux de son état.
Une pression répétée sur A provoque la libération d’une multitude de projectiles dont la fonction est la destruction d’objet quelconque, par simple contact avec cet objet. Le B sert à la super-méga-bombe-qui-nettoie-l’écran dont la fonction même est citée dans son nom (toujours disponible en nombre limité, bien sûr).
Si vous exercez une pression prolongée sur ce bouton A, votre tir se transformera alors en un laser de grande puissance, mais la vélocité de votre vaisseau s’en trouve sensiblement réduit.
Enfin, sachez que vous êtes libre d’utiliser votre bombe tel quel ou sous la forme d’un gigantesque laser à la puissance dévastatrice mais aux effets plus localisés.
Avant le début de votre mission, il vous faut choisir quel type de tir vous désirez optimiser. Pour ce faire, après le choix de votre appareil, sélectionnez une des deux options : shot ou laser.
Bien évidemment, sachez que vos tirs sont upgradables par l’adjonction de power-up.
A présent que vous connaissez tout ce qu’il faut savoir sur le pilotage, vous êtes prêt àgir sur le terrain.
Maintenant que tout est dit, c’est parti pour la destruction soutenue
C’est comment ?
Dés le début, on est scotché par la qualité des graphismes, les engins, les vaisseaux sont tellement bien dessinés et les boss sont bien sûr énormes.
Attention une première vague ennemie, ouaaaah. L’écran se remplit d’ennemi, ça tire et les explosions fusent de partout comme c’est pas possible.
Les explosions, les tirs de lasers, les débris qui virevoltent dans l’air, ces tôles froissées qui traversent le ciel, les cratères fumant témoignant de votre passage, qu’est-ce que c’est boooon.
Les éternels boss sont gros et ne se privent pas de vous faire partager leur munitions.
C’est beau, rapide et sans pitié. Et le vaisseau est suffisamment souple pour éviter avec brio le déluge de projectile à l’écran.
Les ralentissements se font sentir, mais quelquefois, ça aide un peu dans toute cette orgie de boulettes énergétiques 🙂
Un conseil, choisissez l’option Shot, le jeu n’en est qu’encore plus excitant, puisque vous serez constamment en train de tapoter sur le bouton :).
Mais qu’entend-je au milieu de tout ce carnage atroce et fort bien rendu ? La musique ! Dés le début, on est aussi remué par la musique. C’est du bon rock avec de la bonne guitare électrique qui se marie avec ce cocktail de brutalité sauvage. Dommage tout de même qu’on récupère les mêmes musiques à partir du quatrième stage, ça nous fait 3 musiques pour les six stages.
Durée de vie ? 6 niveaux à se farcir. Le premier bien que rempli d’ennemi ne doit pas poser trop de problème, le deuxième peut être fini avec son premier crédit. Les autres deviennent de plus en plus dur et finir les 3 derniers en un crédit demande une précision chirurgicale (i font comment, ces jap ?).
Pour vous motiver encore plus, sachez qu’il existe un boss caché 🙂
CONCLUSION
Ça, c’est du shoot pur et dur, avec de l’action non-stop. On a à peine le temps de souffler qu’on repart tout de suite à l’assaut. C’est l’un de mes shoot préféré pour tout dire. Pas de grosse originalité à signaler mais une très bonne réalisation technique et une action soutenue. Un des shoots à ne pas louper pour tous les inconditionnels.
LA GALERIE D’IMAGES
Testeur: Simou
Mise en page: WoVou